Jusqu’à
version
papier
version
numérique
Jusqu’à 50% de réduction
et de nombreux cadeaux
au choix
Concours douteux, marques inconnues, avis fictifs, rabais démesurés … sur la toile, pas toujours facile de repérer les pièges ! Nos conseils pour avoir du nez.
La supercherie : promettre à travers moult encarts pub des lunettes de soleil de marque à – 80 %, des escarpins en ventes flash limitées… En cliquant sur le lien, qui comporte souvent le nom de la vraie marque pour mieux nous embrouiller, on nous redirige vers une fausse boutique et non vers le site officiel attendu. Le risque : recevoir des produits contrefaits (quand livraison il y a…) et fournir nos coordonnées bancaires à des escrocs.
La supercherie : attirer les fans de fringues avec des photos canons de tenues originales bien coupées, de jolis ensembles pour bébés, accessoires de mode… le tout à petits prix. Mais, à la livraison, ça se corse : tissus de piètre qualité, vêtements mal taillés, voire importables… Certains e-shops cumulent les plaintes sur les forums d’associations de consommateurs : Rosegal, Shein, Dresslily, SammyDress…, dont les pièces proviennent de Chine. En cas de pépin (livraison retardée, commande incomplète), difficile de joindre le service client : soit il est peu réactif, soit injoignable par téléphone ou email.
La supercherie : après avoir commandé sur des sites Internet connus (La Redoute, Priceminister ou Rakuten, OUI.sncf…), un encart s’affiche nous proposant de bénéficier d’un bon d’achat sur une prochaine commande ou de nous faire rembourser notre achat moyennant une inscription payante à un programme de réductions. Si l’on est pas attentif aux petites lignes, on peut facilement croire qu’il s’agit d’une offre proposée par la e-boutique qu’on vient de visiter, mais, en cliquant, on est redirigée vers le site remisesetreductions.fr (ou remisesetprivileges.fr), sites de cashback payant, où un formulaire nous invite à laisser nos coordonnées bancaires. Un système pas forcément très clair qui peut facilement nous embrouiller et qui risque de nous prélever tous les mois plus d’une dizaine d’euros.
La supercherie : des plateformes fourre-tout qui nous assaillent de pubs pour des produits neufs et aguichants made in China à bas prix, souvent inutiles : du sèche-cheveux magique au climatiseur de poche en passant par la poudre amincissante, la robe de mariée ou le gadget en toc. Par exemple, joom.com et wish.com, où les promos dépassent parfois les – 92 % ! Derrière ces gros rabais  se cachent très souvent des produits de mauvaise qualité, défectueux, des jouets pour enfants non conformes, toxiques, voire dangereux. Et le pompon, c’est que ces sites recensent des milliers de vendeurs chinois qui ne sont pas contrôlés.
La supercherie : un texto vous propose de vous acquitter de la TVA pour réceptionner votre colis et vous renvoie vers un lien Internet frauduleux. Récemment, de nombreux internautes ont reçu ce SMS après une commande réalisée en ligne. Le message ressemble à celui-ci : « Vous devez payer 1,95 € de TVA pour votre colis, payez en ligne et évitez les frais de dédouanement (15 €). »
La supercherie : nous vendre via sites et plateformes de réservation douteuses des places pour un concert qui affiche complet depuis des mois. Méfiance ! Il s’agit pour la plupart de sites fantômes basés à l’étranger qui n’enverront jamais les places (ou nous vendront des billets contrefaits).
La supercherie : un jeu ou questionnaire bidon nous fait miroiter un billet d’avion gratis, des entrées pour un célèbre parc d’attractions, un Thermomix gratuit… Mais, à la clef, il n y a pas l’ombre d’un cadeau et nos données seront recueillies et revendues par des escrocs à des sociétés de démarchage, voire à des hackers.
La supercherie : on croit commander un produit sur amazon.fr, fnac.com, cdiscount.com, laredoute.fr… mais en réalité on se retrouve à acheter sur une place de marché qui héberge les offres de commerçants indépendants n’ayant rien à voir avec le site initial et ne bénéficiant pas des mêmes garanties. Le risque ? Commander des produits qui ne respectent pas les normes européennes, des cosmétiques aux composants douteux, des fringues inflammables et des contrefaçons de marques ! D’autant que ces commerçants sont souvent basés à l’étranger, donc bye bye le service SAV et la possibilité d’un remboursement.
Tous les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram) indiquent « n’assumer aucune responsabilité quant aux contenus, informations ou données de tiers ». Leur responsabilité ne peut donc pas être engagée. Si on se fait avoir, on doit donc contacter au plus vite sa banque pour faire opposition. Hélas, obtenir le remboursement de la commande frauduleuse a peu de chances d’aboutir, le paiement ayant été fait de notre plein gré, mais un dépôt de plainte pour escroquerie en commissariat ou à la gendarmerie plaidera peut-être en notre faveur, selon la situation. On peut aussi dénoncer les adresses frauduleuses sur internet-signalement.gouv.fr
Inscrivez-vous aux newsletters
Astuces, bons plans, coups de cœur on vous tient informées !
Je m’abonne

source

Catégorisé: