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Des instruments dédicacés par de nombreux artistes ayant participé aux concerts d’hommage à Taylor Hawkins seront mis aux enchères la semaine prochaine afin de récolter des fonds pour MusiCares.
Les camarades de Hawkins au sein des Foo Fighters, dont Dave Grohl, ainsi que des invités tels que Stewart Copeland, Krist Novoselic, Joan Jett, Kesha, John Paul Jones, Brian Johnson d’AC/DC, Brian May de Queen et Roger Taylor, font partie des légendes du rock qui signeront une série de guitares, de basses, de peaux de batterie et de cymbales pour la vente aux enchères caritative, qui aura lieu dans le cadre de l’événement Icons and Idols de Julien’s Auctions à partir du 11 novembre.
Les instruments signés comprennent une guitare électrique Gibson Trini Lopez bleu métallique, une guitare basse électrique noire signée John Paul Jones, une Fender Stratocaster blanche signée par Nile Rodgers et une guitare Eddie Van Halen « Frankenstein » signée par les artistes participants. Les guitares sont toutes estimées entre 6 000 et 8 000 dollars avant les enchères.
En ce qui concerne les articles non musicaux, un pick-up Ram Rebel Crew Cab 2022 unique en son genre, fabriqué en collaboration avec Ram Truck et les Foo Fighters et portant les insignes de Hawkins et des Foo Fighters, sera également mis aux enchères avec une estimation à 80 000 $.
La directrice exécutive de MusiCares, Laura Segura, a déclaré : « MusiCares a eu l’honneur d’être le bénéficiaire américain des concerts d’hommage à Taylor Hawkins, et nous sommes fiers de nous associer à Julien’s Auctions pour cette incroyable collection. Nous nous consacrons à aider les humains derrière la musique parce que la musique donne tellement au monde, et cette vente aux enchères poursuit la belle célébration de la vie de Taylor et de son immense contribution à l’industrie musicale. »
 
Daniel Kreps
Traduit par la rédaction

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Pas de cavalcade maladroite dans les rues de Londres. Ni de numéro de charme face à Ed Sullivan et la presse américaine. Ou de chute coordonnée dans la poudreuse autrichienne. Le passé, c’est le passé. Quant à secouer le rooftop le plus célèbre de l’histoire de la musique, ça devra attendre. Pour l’instant, les Beatles sont aux prises avec d’infernales créatures baptisées Blue Meanies.
1968. Brian Epstein ayant signé un contrat de trois films avec United Artists, les Beatles sont contraints de donner une suite à Help! (1965). Ils n’en ont pourtant aucune envie. Epstein demande donc à Al Brodax – un des producteurs de la série animée consacrée au groupe – si un long métrage d’animation peut faire l’affaire. Compte tenu de la qualité de la série, les quatre musiciens ne sont pas ravis. Reste qu’ils n’ont pas besoin d’être impliqués. Si cela leur permet de remplir leur contrat, cela leur convient.
Brodax commence donc à réunir une équipe de créatifs, dont le dessinateur canadien George Dunning, le réalisateur Charles Jenkins et plusieurs scénaristes, dont Erich Segal, le futur auteur de Love Story et professeur de latin. C’est Jenkins qui suggère d’engager Heinz Edelmann, un graphiste tchéco-allemand mieux connu pour son travail pour le magazine Twen. C’est lui qui amènera l’idée du récit comme une série de courts métrages, « de sorte que le style du film varie toutes les cinq minutes environ, pour susciter l’intérêt. » Il est dit que tout ce beau monde avait du mal à décider d’une direction quand Sir George Martin les réunit en 1967 et leur fait écouter le nouvel album des Beatles : Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band. Ils peuvent enfin commencer à naviguer.
Le résultat sera finalement du goût des Beatles – et ce bien que Paul ait souhaité qu’il s’agisse d’un dessin animé classique… « le plus grand film de Disney jamais réalisé » ! Ils l’aimèrent tellement qu’ils acceptèrent de prendre part à sa réalisation avant de se rendre en Inde pour étudier la méditation transcendantale. Sa bande originale comprend beaucoup de morceaux instrumentaux composés par George Martin, ainsi que quatre chansons inédites enregistrées un peu sous la contrainte. Ce n’est pas un hasard si « It’s Only a Northern Song » de George Harrison tient plus de la démo que de la chanson. Il en va de même pour « All Together Now ». Bien qu’entraînante, le morceau ne figure pas parmi les plus grands éclats de McCartney. Seule la contribution de John Lennon, « Hey Bulldog », se détache. Préfigurant le White Album, la chanson fait la part belle à la désillusion.
Tout cela, combiné avec dix chansons plus anciennes et un scénario dissolu mettant en scène la ville de Pepperland assiégée par des opposants à la peau bleue, a fait de Yellow Submarine un film singulier, à part – une comédie musicale disparate qui transforma littéralement les popstars en œuvres d’art. Revoir Yellow Submarine aujourd’hui, c’est plonger dans les eaux profondes des années 60. Oui, c’est une merveille visuelle. Peu importe le nombre de fois que vous la regarderez, vous serez impressionné. La séquence consacrée à « Eleanor Rigby », une symphonie grisonnante mettant en scène une Angleterre morne, vaut à elle seule le détour. Et bien que l’implication des Beatles ait été minime, leurs avatars incarnent à merveille leurs différentes sensibilités et les explosions de couleurs caractéristiques de Carnaby Street.
Il n’y a qu’à voir comment les Fab Four sont représentés. Ringo est égal à lui-même. Tout aussi paumé que son personnage dans A Hard Day’s Night, il est abonné aux rôles de faire-valoir. Quant à Lennon, il a quelque chose du monstre de Frankenstein, une créature torturée crée ici par la célébrité. Vient George Harrison. Mystique cosmique, ses cheveux flottent au vent. De la musique orientale se fait entendre. A en croire Ringo, c’est « Sitarday » ! Les trois garçons ouvrent une porte. Une fanfare se fait entendre et Paul fait son entrée sous des acclamations rauques. Il redresse sa cravate, attrape un bouquet de fleurs et demande joyeusement : « Qu’y a-t-il les gars ? » Tout d’un chef de groupe. Enfin, avons-nous mentionné que leurs antagonistes font tomber le logo de leur maison de disques sur la tête des gens ? Même sans la participation des Quatre Garçons, on a l’impression que, même dans ce conte de fées, le rêve est quelque peu brisé.
Diffusé pour la première fois un dimanche après-midi, Yellow Submarine a pour beaucoup été la porte d’entrée vers l’univers des Fab Four. Super-héros aux costumes délirants, ils pourfendent de vilaines bestioles et sauvent le monde… en voilà des musiciens peu communs. Je me souviens avoir écouter « Nowhere Man », « Lucy In The Sky With Diamonds » et « When I’m Sixty-Four » bien avant « Can’t Buy Me Love » et « I Wanna Hold Your Hand ». J’étais familier de ces Beatles animés bien avant les chevelus de A Hard Day’s Night et Help ! « Ce film parle à toutes les générations, » a un jour déclaré George Harrison. Tous les enfants de trois ou quatre ans sont un jour confrontés à Yellow Submarine. Il est donc étonnant de penser qu’au fond, il ne s’agissait que d’une obligation contractuelle. Quand vous voyez le quatuor batifoler dans ce pays des rêves aux couleurs de l’arc-en-ciel, vous ne pouvez qu’avoir l’impression d’être passé de l’autre côté du miroir. Soudain, les Beatles apparaissent en chair et en os. Vêtus de chemises ternes, ils n’ont pas grand chose à voir avec leurs alter ego. Ils échangent quelques blagues, avant de reprendre en chœur « All Together Now ». « Tous ensemble, maintenant. » Rarement ce message aura été autant d’actualité. Qu’attendons-nous ?
David Frear
Traduit de l’anglais par Jessica Saval


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Iggy Pop s’est déclaré vainqueur d’un combat qui n’a même pas encore eu lieu. Le musicien sortira son 19e album studio solo le 6 janvier sous le titre Every Loser, titre qui semble en accord avec la promesse (ou la menace) qu’il a faite dans un communiqué avec son annonce : « La musique va vous mettre K.O. ».
Every Loser comprendra le single « Frenzy », récemment sorti, qui puise dans les racines punk des premiers travaux solo d’Iggy Pop et des anciens albums des Stooges. Il s’agit également de son premier disque complet publié en partenariat avec Atlantic Records et Gold Tooth Records, fondé par Andrew Watt.
« Je suis le gars torse-nu qui fait du rock ; Andrew et Gold Tooth l’ont compris, et nous avons fait un disque ensemble à l’ancienne, a expliqué Iggy Pop dans une déclaration récente. Les musiciens sont des gars que je connais depuis qu’ils sont enfants ».
L’album de 11 titres fait suite au disque Free, orienté jazz, du musicien rock, sorti en 2019.
« Iggy Pop est une icône. Un véritable original. Le gars a inventé le stage dive, a partagé Watt dans un communiqué. Je n’arrive toujours pas à croire qu’il m’a laissé faire un disque avec lui. Je suis honoré. Il n’y a pas plus cool. Cet album a été créé pour être écouté aussi fort que votre stéréo le permet… Montez le son et tenez bon… »
Every Loser Tracklist
 
Larisha Paul
Traduit par la rédaction

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Jeff Cook, membre fondateur et guitariste lead du groupe country Alabama, est décédé mardi dans sa maison de vacances à Destin, en Floride, après une longue maladie. Il avait 73 ans.
Né Jeffrey Alan Cook le 27 août 1949 à Fort Payne, en Alabama, ses ambitions musicales l’ont conduit plusieurs fois au sommet des charts country avec des classiques d’Alabama comme « Mountain Music », « Take Me Down », « Love in the First Degree » et « Dixieland Delight ».

Avec ses cousins, le chanteur Randy Owen et le bassiste Teddy Gentry, Cook a formé un groupe appelé Wildcountry qui a gagné une certaine popularité dans le Sud. Ils sont particulièrement appréciés à Myrtle Beach, en Caroline du Sud, et finissent par s’y installer, jouant des concerts populaires dans une salle appelée le Bowery.
Le groupe a été rebaptisé Alabama en 1977 et, avec l’ajout d’un batteur à plein temps, Mark Herndon, il a commencé à gagner du terrain dans l’industrie de la musique country à la fin des années 1970.

La carrière du groupe sur les principaux labels de RCA a été spectaculaire, commençant par huit chansons numéro un, dont « Tennessee River », « Feels So Right » et « Mountain Music ». Au total, ils ont enregistré plus de 30 succès country numéro un, dont un par an de 1980 à 1993. Parmi eux, des classiques comme « Dixieland Delight », « Song of the South » et « I’m in a Hurry (and Don’t Know Why) ». Leurs ventes d’albums ont dépassé les 75 millions et ils ont été l’un des rares groupes à remporter le prix de l’Entertainer of the Year de la CMA, en 1982, 1983 et 1984.
Cook a apporté ses impressionnantes compétences en guitare à Alabama, ainsi que sa capacité de jouer de nombreux instruments tels que les claviers, le violon et la mandoline, ajoutant également des harmonies vocales au chant d’Owen. En 2005, le groupe est intronisé au Country Music Hall of Fame, peu après avoir annoncé sa retraite. Ils ont repris les tournées, sans Herndon, en 2013.

Ayant obtenu sa licence de radiodiffuseur à 14 ans, Jeff Cook a également passé du temps à la radio et a étudié la technologie électronique au Gadsden State Community College. Plus tard, il a construit son propre studio, Cook Sound Studios, à son domicile de Fort Payne, où il a travaillé avec d’autres musiciens. Cook a également sorti quelques projets solo à partir du milieu des années 2000, notamment Just Pickin’ en 2008 et 2 Rock 4 Country en 2011.
En 2012, on a diagnostiqué chez Cook la maladie de Parkinson, et il a annoncé publiquement la nouvelle quelques années plus tard, en 2017. Il a maintenu un calendrier de tournées chargé avec Alabama jusqu’en 2018, date à laquelle il a décidé de se retirer définitivement de la route.
Brad Paisley, qui a collaboré avec Alabama sur sa chanson « Old Alabama », s’est souvenu de Cook dans un message sur les réseaux sociaux. « L’un des moments forts de ma vie est d’avoir pu enregistrer et jammer avec vous, les gars. Tu as combattu cette terrible maladie avec grâce, Jeff. Mes pensées vont à ta femme, aux garçons et au groupe. Tu vas nous manquer. »
 
Jon Freeman
Traduit par la rédaction

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La playlist du week-end s’écoute aussi en streaming !
Trésor caché des années 70, Folksongs & Ballads, album de la musicienne folk américaine Tia Blake enregistré alors qu’elle était de passage à Paris, ressort plus de 50 ans après. Découvrez la perle « The Rising Of The Moon » dès maintenant.

Le groupe de punk de la Nouvelle-Orleans Special Interest a récemment sorti Endure, son nouvel album. Découvrez « Cherry Blue Intention » qui en est extrait, porté par une énergie brute.

Hey Hey My My – Slow
Levons le pied avec « Slow », nouveau single du duo français Hey Hey My My. Une douceur à retrouver dans High Life, leur prochain album studio, prévu pour janvier 2023.

Cercueil – Silent Passenger
Etrangeté et mystères sont à retrouver dans « Silent Passenger », nouveau single du projet électro-pop sombre formé par Nicolas Devos et Pénélope Michel. Ce titre est dans leur nouvel EP, intitulé Bad Posture.

Les premiers pas d’un groupe sont toujours un événement. Voici donc le tout premier single de Dog Park, groupe de rock indé parisien fraichement formé. « Sunny Decadence » est un morceau au rythme lancinant terriblement accrocheur, aux dissonances des plus charmantes.

Après avoir sorti plusieurs EP, l’artiste indie pop MorMor passe enfin à son premier album, Semblance, disponible depuis le 4 novembre. Découvrez « Here It Goes Again », qui en est extrait.

Découvrez « Jusqu’à demain » le nouveau single de la chanteuse et actrice française Princess Erika, à retrouver dans son prochain album, J’suis pas une sainte, dont la sortie est prévue pour le 18 novembre.

Mélangeant habilement folk et soul, le musicien et chanteur danois Mike Andersen a récemment sorti un nouvel album intitulé Raise Your Hand. On y retrouve notamment le rythmé et accrocheur « Slamming The Door », au clip original.

Si vous avez raté la playlist précédente, retrouvez-la ici
Mathieu David

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Le groupe de post-punk et cold wave parisien Je t’aime dévoile un nouveau single intitulé « Out of Sight ». Découvrez le clip, réalisé par Albert + Marion, disponible via le player ci-dessous :

Un single à retrouver dans Agressive, le nouvel album de Je t’aime, disponible depuis le 1er novembre. Il s’agit de la seconde partie d’un diptyque, intitulé Passive/Agressive, dont la première partie est sortie le 14 février. Le groupe détaille dans un communiqué : « Passive/Agressive nous conte la suite de cette histoire où il est principalement question des regrets et des remords de notre héros. Sa femme l’a quitté, sa fille le hait, même son chien a fui le domicile. C’est l’histoire d’un loser magnifique constamment rattrapé par le passé, et répétant sans cesse les mêmes erreurs, faisant beaucoup de mal aux gens qui l’aiment, et se trouvant dans une totale incapacité d’évoluer. »
Je t’aime va conclure l’année avec les concerts suivants :
Agressive est disponible
je t'aime agressiveVoici la tracklist et la pochette :
Mathieu David

Du rock patrimonial ? Non de la soul historique. Bruce Springsteen signe un album de reprises indispensables à tous les inconditionnels…
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