Fille du producteur et auteur de dessins animés Jean Chalopin (Inspecteur Gadget, Ulysse 31, Les Cités d’Or…) et d’une mannequin internationale d’origine Singapourienne, Tanis a grandi dans un monde créatif où la musique a vite pris une place prépondérante.
Chanteuse, parolière, compositrice et même productrice, Tanis créé une musique audacieuse et n’hésite pas à prendre des routes inexplorées quand le besoin se fait sentir. Elle produit une musique hautement visuelle qui illustre un camaïeu d’histoires et de sentiments en toute harmonie. Toute la culture a rencontré Tanis lors de son court passage à Paris.

Toute la culture : Votre passion pour la musique, d’où vient-elle ?
Tanis : Je pense que ça vient de l’influence de mon père. Il n’était pas musicien mais il voulait l’être. Quand j’étais petite, on avait un violoncelle à la maison mais personne ne savait en jouer. Et moi, j’ai essayé de jouer avec cet instrument. C’est là que j’ai commencé à être passionnée par la musique.
Vous étiez déjà sûre à ce moment-là de percer dans la musique ?
Non. J’étais très timide à l’époque. J’étais pétrifiée. Je me suis dit que, peut-être cette carrière n’était pas pour moi. Mais j’adorais tellement la musique que j’ai décidé moi-même, de sortir de ma timidité à travers la musique, mais celle que je joue.
Vous avez sorti il y a quelques mois les titres « Toujours là » et « Je t’aime ». De quoi parlent ces deux titres ?
« Toujours là » est une chanson inspirée des images que j’avais tournées il y a quelques années. « Je t’aime », c’est une petite chanson d’amour. Ça renvoie au fait d’aimer quelqu’un et de ne pas savoir comment l’exprimer. Cette chanson m’a permis de conquérir une audience un peu plus âgée qui a beaucoup aimé cette chanson.

Vous parlez plusieurs langues : Français, Anglais, Italien et Chinois. Est-ce que ça vous tenterai de faire des chansons en italien et en chinois sachant que vous avez déjà fait des titres en anglais comme « Would Be You » et « Okay » ?
Faire des chansons en italien, je n’y ai jamais vraiment pensé. J’ai déjà essayé de faire des chansons en chinois mais c’est difficile parce que l’inspiration ne vient pas naturellement. J’aurais plus besoin d’un parolier ou d’une parolière professionnelle. Certes, je parle en chinois avec ma famille de Singapour mais en chanson c’est compliqué.
Songeriez-vous à sortir un album ?
(Rires). Je ne sais pas encore quand est-ce que je pourrai sortir un album ou un EP mais je pencherai plus pour un EP plutôt qu’un album. Je préfère lancer plusieurs titres jusqu’à la fin de l’année 2022 et début d’année 2023. Ce sera un mélange de chansons françaises et anglaises.
Y’a-t-il des artistes avec qui vous rêveriez de collaborer ?
Oui beaucoup ! (rires). J’aime beaucoup travailler avec un groupe américain qui s’appelle Bon Iver que j’aime beaucoup. J’aime l’univers musical de ce groupe. C’est vrai que moi-même, en écrivant et en produisant mes propres chansons, j’ai tendance à m’isoler. Donc si je pouvais collaborer avec quelqu’un d’autre, ce serait avec plaisir !
Visuels : YOUR LABEL.
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