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Au début du mois de mai, realme se targuait d'être entrée dans le Top 5 des marques de smartphones les plus vendus en France, avec une croissance spectaculaire de 443 %. Rien de surprenant avec sa stratégie plutôt agressive, qui consiste à inonder le marché avec des smartphones variés prêts à répondre à toutes les exigences possibles. Dans ce contexte, que vaut le realme 9 en version 4G, un smartphone à moins de 300 euros ? Réponse dans notre test !
Test réalisé sur un smartphone prêté par le constructeur.
Nous vous l'annoncions il y a quelques semaines : le constructeur chinois a dévoilé deux nouveaux smartphones de la série 9. Bien plus abordables que le realme 9 Pro+ sorti en début d'année, le premier propose un accès à très bas prix au réseau 5G. Voyons ici ce que propose le second modèle, le realme 9 en version 4G.
Caractéristiques techniques
Affichage
Mémoire
Performance
Batterie
Appareil Photo
Réseau
Connectivité
Equipement
Caractéristiques physiques
Débit d’Absorption Spécifique (DAS)
En plus du realme 9 4G, la boîte du smartphone que nous avons reçu contient :
Notons pour commencer que la coque de protection est un peu difficile à mettre en place : il faut retourner les bords de l’une de ses extrémités afin d’insérer le smartphone, puis remettre les bords dans leur forme d’origine afin de sceller l’ensemble. Néanmoins, elle semble particulièrement efficace de par son épaisseur, notamment sur les angles, et sa légère couverture de l’écran.
À peu de choses près, l’allure du realme 9 en version 4G est très similaire à celle des autres smartphones du constructeur, notamment du realme C35, un modèle d'entrée de gamme à moins de 200 euros que nous avons testé le mois dernier. S’il était particulièrement élégant, force est de constater que realme a placé la barre un peu plus haut pour son modèle de série 9, qui se classe sur le segment hybride entrée/milieu de gamme.
Parlons bien, parlons mensurations. Ce très beau smartphone mesure 160,2 mm en hauteur pour 73,3 mm en largeur, offrant à son utilisateur un écran AMOLED doté d’une diagonale de 6,4 pouces. En somme, un assez bon ratio entre la taille de l’écran et la préhension de l’appareil au quotidien, même s’il faut préciser que ce modèle est, comme beaucoup d’autres, probablement un peu trop grand pour les petites mains.
L’écran, lui, est protégé par Corning Gorilla Glass 5, et le capteur selfie est intégré dans un poinçon discret situé sur la gauche de l’écran. Pour terminer sur les mensurations du smartphone, précisons qu’il pèse 178 grammes et ne mesure que 7,99 mm d’épaisseur avec un dos légèrement arrondis, au revêtement doux, permettant une excellente tenue en main.
Le realme 9 se déverrouille grâce à un capteur d’empreintes digitales situé sous l’écran, ce qui est assez étonnant. En effet, le realme Narzo 50 5G sorti récemment et situé sur la même tranche de prix propose pour sa part un lecteur d’empreinte situé sur le bouton de mise sous tension, sur la tranche droite de l’appareil, ce qui est désormais un emplacement assez classique. Mais après tout, pourquoi pas.
Toutefois, il nous faut remonter un premier petit bémol. Si le realme 9 est effectivement très fin pour un smartphone entrée/milieu de gamme, son îlot photo dépasse assez grossièrement de sa face arrière. De plus, puisqu’il est positionné sur la partie gauche de son dos, le smartphone souffre d’un léger déséquilibre lorsqu’il est posé à plat. Reste que face à de si jolies finitions pour un modèle à moins de 300 euros, on chipote un peu.
D’ailleurs, la tranche droite du smartphone ne contient absolument rien d’autre que le bouton de mise sous tension. À l’opposé, on retrouve sur la tranche gauche le tiroir de cartes nano-SIM et SD ainsi que les boutons de réglage de volume qui sont, à nos yeux, sujets à discorde.
En effet, comme nous le précisions dans notre test du realme C35, lorsqu’on tient le smartphone en main et que l’on appuie sur le bouton de mise sous tension pour activer la veille de l’appareil, il y a de grandes chances pour qu’un doigt appuie déjà sur le bouton « volume – », du fait de son emplacement, provoquant alors une capture d’écran, plutôt que l’extinction de l’écran. Et à la longue, c’est assez agaçant.
La tranche basse de l’appareil, elle, est assez chargée. On y retrouve en effet un port jack 3,5 mm, un connecteur USB-C et une grille de haut-parleurs, en plus d’un micro. Avant de passer à la suite, précisons que le realme 9 n’est pas certifié IP bien que, sur son site Internet, le constructeur assure que son modèle a passé avec succès son test à haute température par forte humidité, à savoir 14 jours à 65 °C/TH.
Nous en parlions plus tôt : le realme 9 propose – pour moins de 300 euros – un bel écran AMOLED de 6,4 pouces. Ainsi, pour toutes nos activités, on peut profiter d’un bien meilleur confort visuel qu'avec une dalle LCD. Ici, nous avons donc des contrastes intenses, des couleurs vives et des noirs profonds.
Comme sur le Xiaomi Redmi Note 11, l’écran du realme 9 est cadencé à 90 Hz (bascule automatique entre 60 et 90 Hz) et sa résolution est limitée au Full HD+, soit 1 080 x 2 400 pixels, pour une densité de 480 DPI. Ce n’est pas ce qui se fait de mieux aujourd’hui, mais c’est déjà très bien pour cette gamme de prix.
Enfin, le ratio écran/corps du realme 9 ne dépasse pas les 90,8 %. Il faut donc composer avec des bordures plutôt épaisses, notamment en bas de l’écran. Mais encore une fois, rien d’inhabituel sur ce segment.
Pour ce qui est des réglages de l’écran, on se trouve face à quelque chose de très classique, ou presque. Ainsi, par défaut, le mode couleur est paramétré sur « Vive » pour profiter d’un affichage plus éclatant des couleurs grâce au mode 3P. Deux autres choix sont proposés : un affichage plus doux avec le paramètre « Naturel », et un « Mode Pro ». Ce dernier permet de choisir entre la gamme de couleurs « Cinématique » et « Eclatant ».
Si leurs définitions ne sont pas très explicites, il faut simplement comprendre que ce sont deux modes qui proposent une gamme de couleurs plus large. Ainsi, le mode « Eclatant » propose un contraste plus prononcé que le mode « Vive », et de la même façon, les couleurs sont légèrement plus prononcées avec le mode « Cinématique » par rapport au mode « Naturel ». 
Quel que soit le mode privilégié, il est possible de personnaliser la température de couleur de l’écran afin de réchauffer ou au contraire, refroidir les coloris.
Le realme 9 en version 4G est préchargé avec Android 12 et la surcouche du constructeur, realme UI 3.0. De manière très classique, à nouveau, le constructeur chinois assure trois ans de suivi logiciel, dont deux mises à jour majeures du système d’exploitation Android.
Nous étions un peu frustrés face à l’interface R Edition très basique du realme C35. Mais le logiciel realme UI 3.0 n’a absolument rien à voir et c'est un vrai plaisir à utiliser. Très complète, l’interface se montre également personnalisable, notamment en termes d’harmonisation des couleurs et des boutons, afin de changer assez facilement de style tout au long de l’année.
Si au premier démarrage on doit composer avec quelques bloatwares, ces derniers sont nettement moins nombreux que sur le realme Narzo 50 5G. Un détail qui peut avoir son importance pour celles et ceux qui se soucient de contrôler leurs données personnelles sur smartphone.
Sous le capot du realme 9 en version 4G, on trouve un processeur Snapdragon 680 de Qualcomm que nous avons eu l’occasion de tester en début d’année par l'intermédiaire du Redmi Note 11. Malheureusement, à ce moment-là nous n’avions pas du tout été convaincus par le SoC qui ne permettait pas vraiment de jouer et qui occasionnait même des messages d’erreur fréquents de type « Interface ne répond plus ».
Nous partions donc avec un à priori assez sévère, rapidement confirmé par les benchmarks auxquels nous avons soumis le smartphone (sauf AnTuTu qui a refusé de se lancer sur notre modèle de test). Mais remettons les choses dans leur contexte : évidemment, à moins de 300 euros, le realme 9 en version 4G n’est pas une foudre de guerre, ni un smartphone destiné aux gamers.
Il faut reconnaître qu’à l’usage, le modèle souffre parfois de quelques ralentissements dans le passage d’une application à une autre. Un détail toutefois assez commun qui ne gênera que celles et ceux qui possédaient avant un modèle milieu/haut de gamme, et qui sont donc habitués à « mieux ». Lors de notre prise en main, nous avons également relevé un bug persistant avec le clavier virtuel qui, parfois, restait à l’écran sur la page d’accueil.
Nous avons tout de même soumis le smartphone au jugement impitoyable de Genshin Impact et il ne s’en est pas si mal sorti. Alors, précisons tout de suite que notre modèle de test est accompagné de 8 Go de RAM, qui peuvent être complétés par jusqu’à 5 Go supplémentaires de RAM virtuelle, et que ça aide beaucoup.
Bien sûr, le jeu est par défaut limité à une qualité graphique « Faible » et à un framerate de 30 images par seconde. C’est assez moche, mais jouable pour ceux qui voudraient absolument lancer le jeu de miHoYo sur ce smartphone. Nous avons évidemment constaté quelques pertes de FPS, parfois jusqu’à 15 images par seconde en plein combat. 
Ceci en restant en « Mode équilibré » dans les paramètres de performance proposés par l’outil d’optimisation des jeux vidéo intégré au realme 9. Mais en passant en « Mode Joueur Pro », la fluidité est nettement meilleure avec un minimum de 25 images par seconde, même en combat. Il y a mieux, mais il y a nettement pire. Précisons tout de même que le framerate se montre stable autour des 30 FPS. 
On se doit donc de rappeler ici la stabilité des performances exemplaire de 99,8 % relevée par 3DMark. Le smartphone chauffe peu et se comporte plutôt bien face à un jeu aussi gourmand que Genshin Impact, malgré son SoC d'entrée de gamme qui patine un peu.
Rien d’inhabituel pour un smartphone dans cette gamme de prix : la partie audio est assez modeste. Le haut-parleur sur la tranche inférieure du realme 9 4G propose toutefois un son puissant, plutôt bien calibré pour un appareil à moins de 300 euros. Mais comme toujours, le son sature rapidement et se montre brouillon.
Les amateurs de musique pourront néanmoins compter sur le port jack 3,5 mm pour profiter d’une meilleure qualité sonore, accompagné par la technologie Real Sound qui vise à optimiser le son selon le contenu en cours de lecture. Pour ceux qui préfèrent les casques sans-fil, le realme 9 prend en charge le Bluetooth 5.1.
S’il ne remportera pas la palme du meilleur smartphone photo de l’année, le realme 9 se défend tout de même très bien sur ce point. Pour rappel, la face avant du téléphone propose un capteur selfie de 16 mégapixels (f/2,45 ; 78°), tandis que le dos de l’appareil héberge un îlot photo composé de trois capteurs :
Les clichés proposés par le capteur principal du realme 9 sont une véritable réussite de netteté et de luminosité. Pour cela, on remercie évidemment la technologie Nonapixel Plus qui regroupe 9 pixels pour les transformer en un seul, et ainsi absorber davantage de lumière dans les environnement les moins éclairés.
Il est clair que l’algorithme de traitement produit des résultats assez peu naturels : les couleurs sont saturées et les contrastes poussés. Mais cela reste, à nos yeux, dans les limites du raisonnable. D’autant que cela rend les clichés plus vifs, plus vivants. On regrette toutefois l’aspect étiré, voire légèrement flou, des angles de l’image.
Et on peut effectivement s’accorder sur le fait que toutes les photographies issues du capteur principal souffrent d’un certain « rougissement » de l’ambiance. Bref, les clichés ont tendance à virer au rouge. Alors, pour le respect de l’aspect naturel des couleurs, on repassera, mais apprécier ce résultat reste une question de goût.
Comme souvent avec les smartphones de milieu de gamme, le capteur ultra grand-angle est totalement dispensable. Il permet de gagner un certain recul pour faire entrer plus d’éléments dans la composition de l'image, mais le résultat est médiocre, comme on s’y attendait sur un smartphone à moins de 300 euros.
Les contours sont étirés à l’extrême et se présentent complètement déformés. En comparaison, le centre de l’image se porte mieux, mais il manque cruellement de détails comparé à ce que propose le capteur grand-angle. Évidemment, on passe à un capteur de 8 mégapixels…
Finalement, à quoi bon l’utiliser ?
Autre point noir du module photo du realme 9, l'objectif Macro est totalement dispensable, à l’instar de l’objectif ultra grand-angle dont nous parlions juste avant. Faisons simple : rien ne va, surtout avec seulement 2 mégapixels. Les clichés manquent cruellement de netteté, au point d’en devenir irréalistes, en plus d’être terriblement sombres.
Comment bien faire avec un capteur qui exige d’être positionné à précisément quatre centimètres de sa cible ? Et attention : ni plus, ni moins, sinon le résultat est pire encore. Nous n’en attendions rien, mais ne vous méprenez pas, nous ne sommes pas particulièrement déçus : nous n’espérions pas mieux.
Revenons donc au très bon capteur principal qui, en plus de proposer de jolis clichés, dispose d’un zoom numérique efficace. Dans les paramètres standards proposés, realme ne surclasse pas les capacités de son smartphone et se limite à un zoom x3, capable de proposer une qualité comparable à celle d’un zoom optique grâce à un algorithme de fusion efficace.
Bien sûr, les pixels sont un peu grossiers, mais le résultat est plutôt acceptable. Il est possible de pousser le curseur plus loin et d’aller jusqu’au zoom x10, mais comme on peut s’en douter, c’est une bouillie de pixels assez indigeste qui nous attend à l’arrivée.
Assez gadget mais amusant, le mode « Rue » est une fonctionnalité intéressante proposée par le constructeur chinois pour prendre le contrôle du zoom et du dézoom. On ne gagne pas grand-chose à l’utiliser, mais peut-être que certains utilisateurs seront plus à l’aise avec cette interface.
Puisque le realme 9 est équipé d’un capteur de 108 Mpx doté de la technologie NonaPixel, on en attendait évidemment beaucoup en conditions de faible luminosité. Pour rappel, cette technologie permet de capturer plus de lumière pour améliorer la clarté et la netteté de l’image, même dans la pénombre, tout en limitant l’apparition de bruit.
Lorsqu'il fait sombre, le capteur 108 Mpx atteint son plein potentiel avec le mode « Nuit », qui améliore encore un peu le rendu avec l’aide d’un algorithme de traitement particulièrement efficace, que ce soit sur le plan du travail réalisé ou celui de sa vitesse d’exécution : moins d’une seconde, quand d’autres modèles réclament de rester immobile pendant quatre secondes avant de capturer le cliché.
De jour comme de nuit, il est évident que l’on retrouve les mêmes petits défauts que nous avions relevés plus tôt : l’image proposée vire assez fort vers le rouge, et ses angles souffrent d’une légère déformation (toutefois moins visible sur les clichés nocturnes).
Le mode « Portrait » appliqué au capteur arrière de 108 Mpx permet tout simplement d’ajouter à la volée un flou d'arrière-plan derrière un sujet rapidement identifié par l’IA de l’appareil photo. Par défaut, le découpage est très bon et le flou appliqué est progressif pour un résultat vraiment agréable à l'œil…
… Sauf quand il s’agit d’une bête à poils. Et, on y reviendra plus tard, il en va de même avec le capteur selfie. Ainsi, sur la photo ci-dessous, on voit clairement les difficultés du realme 9 à découper proprement la fourrure d’un animal.
Le problème vient du fait que le smartphone ne possède pas de capteur de profondeur. On aurait pourtant volontiers troqué l’ultra grand-angle ou l'objectif macro contre ça… Vraiment.
De l’autre côté du realme 9, le capteur selfie de 16 Mpx propose des résultats plutôt étranges.
En cause, une saturation poussée un tout petit peu trop fort, pareil pour les contrastes. Résultat : les visages sont rougis et/ou les cernes peuvent apparaître fortement marqués. Bref, le résultat ne correspond pas à la réalité et les sujets semblent malades et/ou fatigués. Pas génial comme résultat pour une activité censée booster la confiance en soi…
Clairement, les selfies en intérieur sont les moins pires. Dehors, que l’on soit au soleil ou à l’ombre, il en ressort des clichés vraiment bizarres. Par respect envers moi-même, je vous épargne toutes les photos sur lesquelles ont pourrait croire que j’ai pris des coups… C'est-à-dire quasiment toutes.
Je m’explique : j’ai la chance d’avoir des cernes assez peu marqués, que ce soit dans leur forme ou leur coloration. Merci la génétique. Pourtant, sur les selfies pris à l'extérieur, elles ressortent très fortement et complètement marron/jaune. Sur certaines photos, on pourrait sincèrement croire que je sors d’une grosse bagarre.
Et quand, enfin, je trouve la (presque) bonne exposition pour (presque) supprimer cet effet, on se retrouve avec le cliché ci-dessous… complètement irréaliste !
Faisons avancer la science et profitons-en pour noter que, si le détourage global du sujet est très bon pour appliquer le flou d’arrière-plan, l’algorithme peine vraiment beaucoup avec les cheveux.
Nous avons malheureusement assez peu de choses à dire sur la partie vidéo du realme 9, tant elle est sommaire. Déjà, il est impossible de filmer au-delà de 1080p à 30 images par secondes, voire au-delà de 720p à 30 images par seconde lorsque l’on souhaite appliquer un filtre à l’image ou des retouches.
Le capteur n’est pas stabilisé, malgré la présence d’une option logicielle sobrement intitulée « Ultra-stabilité », qui ne nous a absolument pas impressionné. À dire vrai, nous n’avons pas vraiment vu la différence avec ou sans l'option. Les vidéos tournées avec le realme 9 ne sont pas désagréables à l'œil, mais aucune ne récoltera un Oscar du cinéma !

Quelle magie se cache dans la batterie de 5 000 mAh du realme 9 en version 4G ? On le sait, le processeur Snapdragon 680 de Qualcomm est économe, tout comme Android 12 et ses améliorations en faveur de la préservation de l’autonomie des smartphones. 
On imagine que la surcouche realme UI 3.0 a aussi un rôle à jouer dans l’endurance de l’appareil. Mais de là à atteindre les 20 heures en lecture vidéo sur YouTube, avec l’écran en luminosité maximale et le GPS activé en arrière plan : nous voilà fortement surpris !
Précisons tout de même que la majorité des vidéos sur YouTube (et donc qui ont été lues sur l'écran du realme 9 pendant ce test) sont au format 16:9 et ne s’affichent pas en plein écran. En effet, deux bandes noires épaisses encadrent le contenu, à gauche et à droite, lorsqu’on tient le smartphone à l’horizontale.
Après un chargement complet, nous avons été moins gourmand avec le smartphone qui a pu profiter de longues périodes de veille. Comme vous pouvez le voir ci-dessous, il a tout de même encaissé une dizaine d'heure d'utilisation d'écran en luminosité maximale, que ce soit en lecture vidéo (Netflix, YouTube) mais aussi en jeu vidéo (Genshin Impact) et pour surfer sur les réseaux sociaux. Et il était encore loin de s'éteindre de lui-même.
La très bonne impression donnée par l’autonomie du smartphone n’est pas gâchée au moment de la recharge. En effet, le realme 9 est accompagné dans sa boîte d’un bloc de recharge rapide 33 W qui permet de récupérer 50 % de batterie en 30 minutes et d’obtenir un chargement complet en, très précisément, une heure et douze minutes.
Le realme 9 est disponible depuis le 17 mai 2022 en trois coloris avec un effet d’ondulation : « doré solaire » (le modèle original et agréable à l’oeil que nous avions en test), « noir météorite » et « blanc étoilé ». Il est proposé en deux configurations :

Avec son bel écran AMOLED 90 Hz, le realme 9 en version 4G ne manque pas d’arguments pour plaire et, quand il le peut, va même plus loin que ce qu’on pouvait espérer de lui.
Du côté de l’autonomie, il se montre tout simplement increvable ! Les amateurs de photographie apprécieront son objectif grand-angle qui propose de très jolis clichés, de jour comme de nuit, et pardonneront ses capteurs secondaires complètement dispensables.
S’il n’est pas une foudre de guerre, le realme 9 se montre suffisant pour faire tourner la majorité des jeux mobiles du marché, même si ce n’est pas sa caractéristique la plus marquante.
Les plus
Les moins
Design 8
Écran 9
Performances 8
Logiciel 8
Autonomie 10
Photographie 7
Design 8
Écran 9
Performances 8
Logiciel 8
Autonomie 10
Photographie 7
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