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Nous testions il y a deux semaines le Xiaomi 12 Pro, et voici venir le tour de son petit frère. Un smartphone haut de gamme qui, comme son nom l'indique, prend la suite du Xiaomi Mi 11 qui nous avait particulièrement séduits l'an passé.
Mais Xiaomi a la folie des grandeurs en 2022. Vous l'avez sans doute remarqué si vous avez lu notre test du Xiaomi 12 Pro, le constructeur se sent pousser des ailes, et fait subir à ses smartphones une importante hausse des prix… qui ne s'adosse pas forcément à de grandes nouveautés matérielles.
Test réalisé sur un smartphone prêté par le constructeur.
Ne vous laissez pas berner par le format compact du Xiaomi 12. Nous avons affaire à un véritable flagship, qui n'a pas grand-chose à envier au Xiaomi 12 Pro en réalité.
Caractéristiques techniques
Affichage
Affichage écran interne
Affichage écran externe
Mémoire
Performance
Batterie
Appareil Photo
Réseau
Connectivité
Equipement
Caractéristiques physiques
Débit d’Absorption Spécifique (DAS)
Des différences ? Il en existe évidemment. À commencer par son écran, cela va sans dire. Cette année, seul le modèle Pro est capable d'offrir une définition QHD+, par exemple. La partie photo du Xiaomi 12 est aussi en retrait par rapport à celle du 12 Pro (la taille du capteur grand-angle, la définition de l'ultra grand-angle, l'absence de téléobjectif…). La puissance de recharge est également limitée ici à 67 watts, contre 120 pour le modèle le plus onéreux.
Par contre, le constructeur est évidemment toujours aussi généreux pour ce qui est du packaging de son téléphone. Le Xiaomi 12 s'accompagne d'un chargeur 67 W, d'un câble USB-C et d'une coque en silicone transparent.
Vu comme ça, le Xiaomi 12 reprend exactement le design du Xiaomi 12 Pro. La différence essentielle est qu'il s'agit… d'un smartphone compact. Oui, bon, compact selon les standards de 2022, s'entend.
Léger (179 grammes) et offrant une prise en main parfaite (152,7 x 69,9 x 8,2 mm), le Xiaomi 12 brille surtout pour son superbe écran de 6,28 pouces. Pour vous donner un ordre d'idées, il s'agit d'un téléphone à peine plus grand qu'un Samsung Galaxy S22.
Au dos, le téléphone bénéficie du même traitement en verre Gorilla Glass 5, au toucher particulièrement doux. On reste moins fans du bloc d'appareils photo de ce nouveau modèle par rapport au précédent, mais reconnaissons qu'il s'intègre bien à l'ensemble.
Comme l'an passé, Xiaomi nous offre un duo de haut-parleurs gravés dans une forme sinusoïdale du plus bel effet.
Le capteur d'empreintes se place toujours sous l'écran, et la face avant du smartphone arbore un poinçon central qui abrite le capteur photo dédié aux selfies. Les tranches sont incurvées et ne présentent que deux boutons : la réglette de volume et le bouton power.
Comme son prédécesseur, et malgré son prix très élevé, le Xiaomi 12 n'est pas certifié IP68 et rien ne garantit qu'il résistera à la poussière, des éclaboussures ou une immersion. Dommage.
L'écran du Xiaomi 12 est, contrairement au modèle 12 Pro, plafonné à une définition Full HD+. Néanmoins, la diagonale réduite de ce petit smartphone offre dans les faits une résolution très satisfaisante, à 419 ppp. 
La luminosité de la dalle atteint les 743 nits d'après nos mesures avec la sonde X-Rite iDisplay Pro et le logiciel de calibration professionnel Calman Ultimate. Il est donc parfaitement capable d'offrir un confort de lecture suffisant en extérieur, même quand la lumière est vive.
Toutefois, le mode d'affichage des couleurs sélectionné par défaut (Intense) ne nous donne pas pleine satisfaction. On a l'habitude : la température est beaucoup trop froide et le blanc tire méchamment vers le bleu (7 162K). 
Ceci étant dit, la couverture des gamuts sRGB et DCI-P3 est quasi-parfaite (97,5 %) et permet donc d'obtenir des couleurs vives, et plutôt précises pour le coup (delta E 3,29). 
On recommande d'utiliser la roue chromatique disponible dans les réglages pour réchauffer un peu tout cela. Essayez de placer le curseur quelque part entre le jaune et le orange, et vous devriez récupérer un écran beaucoup mieux calibré. 
Maintenant, parlons confort. Avec sa fréquence de rafraîchissement adaptative (60-120 Hz), et sa fréquence d'échantillonnage de 360 Hz, le Xiaomi 12 est parfaitement réactif. On apprécie particulièrement la possibilité de l'utiliser facilement à une main grâce à sa diagonale plus modeste que le modèle Pro.
Le téléphone pourra éventuellement montrer ses limites en jeu ou en lecture de vidéo, mais le format reste selon nous très adapté à tout type d'usages.
Les deux haut-parleurs du Xiaomi 12 offrent un excellent son. Ils sont de belle taille, et soulignent harmonieusement les morceaux de musique que vous préférez. Bien entendu, on sera toujours plus satisfaits en optant pour un casque ou des écouteurs, mais les haut-parleurs sont suffisamment puissants et précis pour, parfois, ne pas faire cet effort.
Toujours calibrés par Haman Kardon (dont on retrouve la griffe sur la tranche supérieure), les deux transducteurs sont donc de très, très bonne facture. On préfère toujours la rondeur de ceux d'un iPhone 13, mais force est de reconnaître que Xiaomi soigne particulièrement l'audio depuis quelques années.
En outre, pas d'inquiétude : les amateurs et amatrices d'audio sans-fil pourront profiter de périphériques Bluetooth 5.2 et de codecs comme le aptX HD, le AAC et le LDAC.
On est très tentés de faire un copier-coller des dizaines et dizaines autres tests où l'on aborde le cas de MIUI. Mais que voulez-vous, Google a horreur du contenu dupliqué.
Alors on recommence : MIUI 13, basé sur Android 12, offre une interface et une surcouche un peu marginale dans le paysage du smartphone Android.
Assez proche, dans l'esprit, d'iOS, elle offre une grande variété d'options de personnalisation et de raccourcis pour adapter l'interface à ses préférences.
Bien entendu, nous sommes sur un smartphone très haut de gamme. Le Xiaomi 12 ne manque de rien, et propose toutes les fonctionnalités essentielles qu'on s'attend à retrouver sur un smartphone, et bien plus. Le capteur d'empreintes digitales permet notamment de prendre son pouls comme le ferait une smartwatch.
Reste que MIUI 13 est grevé par plusieurs petits problèmes. Le premier est la surabondance d'applications pré-installées (on en compte 5 ou 6), dont certains modules sont indécrottables (je te regarde, Facebook App Manager).
Aussi, Xiaomi a encore un tout petit train de retard par rapport à certains concurrents (Samsung, Google) en matière de politique de mises à jour. Ici, la marque promet quatre ans de mises à jour de sécurité, dont trois mises à niveau majeures. Il y a du mieux depuis quelques années, mais rappelons qu'un iPhone est mis à jour pendant, au moins, cinq ans.
Avec son Snapdragon 8 Gen 1 sous le capot, le Xiaomi 12 est un véritable flagship.
Nos benchmarks le démontrent : le smartphone n'a peur de rien. Il obtient parmi les meilleurs scores du moment sur AnTuTu ou Geekbench, et se montre particulièrement à l'aise sur 3D Mark, dans lequel il dépasse les 9 600 points.
Comme pour le Xiaomi 12 Pro, nous n'avons en revanche pas été en mesure d'effectuer le test de stabilité des performances de 3D Mark. Mais nous n'avons pas remarqué de chauffe inquiétante, et donc de bridage trop important des performances après une session de jeu prolongée.
À ce propos, Genshin Impact peut se lancer en qualité Élevée et tenir entre 30 et 60 images par seconde. Si vous n'aimez pas les framerates qui font le yoyo, préférez une qualité moyenne. 
Toujours est-il que le téléphone est rapide, très rapide même, et absolument agréable à utiliser, grâce à sa vélocité donc ainsi qu'à son format qui favorise une prise en main ferme.
Qui dit petit smartphone, dit petite batterie. Encore que, Xiaomi ne se fiche pas de nous avec un accumulateur de 4 500 mAh — 500 mAh de moins seulement que le Xiaomi 12 Pro.
Et, dans les faits, on obtient peu ou prou des résultats similaires entre les deux téléphones. Eh oui : l'écran est moins grand et demande donc moins d'énergie pour s'animer. 
Par conséquent, nous avons pu tenir sans mal environ 25 heures de veille pour 5 à 6 heures d'écran. Comme d'habitude, il s'agit d'un chiffre obtenu après des usages panachant des réseaux sociaux, de la vidéo, quelques photos et une vingtaine de minutes de jeu.
Sur le test de batterie de PC Mark, qui va éprouver le processeur jusqu'à ce qu'on passe sous la barre des 20 %, le Xiaomi 12 s'en sort même (beaucoup) mieux que le modèle Pro ! Pour rappel, ce dernier demandait 8 heures 39 pour passer de 100 à 20 % d'autonomie. Le Xiaomi 12 a tenu le choc pendant 11 heures 29. Soit plus longtemps que le Samsung Galaxy S22+
Contrairement au Xiaomi 12 Pro et sa recharge à 120 W, ce modèle plafonne à 67 Watts. On ne s'en offusque pas ; il faut moins de 45 minutes pour passer d'un smartphone éteint à une batterie pleine. La recharge sans-fil est également de la partie, jusqu'à 50 W.
On regrette qu'un smartphone vendu 900 € nous demande de faire des compromis. Pourtant c'est exactement le cas du Xiaomi 12 qui, sorti de son excellent grand-angle, n'a pas énormément de choses à proposer en photographie.
Son capteur principal, de 50 mégapixels (1/1/56" ; f/1.9 ; 2,0 µm) fait un excellent boulot dans presque tous les scénarios. Mais l'ultra grand-angle (13 Mp ; 1/3.06" ; f/2.4 ; 1,12 µm) et le télémacro (5 Mp ; f/2.4) sont presque indignes de figurer sur un téléphone si cher.
À l'avant, on reste sur une caméra de 32 mégapixels (f/2.5).
On l'a dit : le grand-angle du Xiaomi 12 est vraiment très bon.
Le piqué est impeccable, et le traitement proposé par les algorithmes du constructeur n'en font jamais trop. Les couleurs sont vives sans être trop saturées, et le contraste judicieusement renforcé pour apporter un petit quelque chose en plus à des photos autrement banales.
Le capteur fait un bon travail pour équilibrer au maximum l'histogramme dans les scènes où des ombres sont marquées et les hautes lumières importantes. 
En clair : il est presque impossible de le prendre à défaut. Il fait exactement ce qu'on lui demande, et s'impose comme un excellent compagnon de route au quotidien.
L'ultrawide du Xiaomi 12 ne fait en revanche absolument pas le poids face à son grand frère, et encore moins face à son homologue du Xiaomi 12 Pro.
Trop petit, ce capteur peine aussi à proposer des images dont les couleurs concordent avec celles du module principal. On remarque vite que les photos sont bien plus froides et impersonnelles avec cet objectif.
Au centre, le piqué est pourtant assez bon. Mais les angles portent des marques de grain et sont bruités même en pleine journée.
En soi, les résultats ne sont pas honteux. Mais ramenés au prix que demande Xiaomi pour acquérir son dernier modèle, on espérait beaucoup mieux.
Sur le Xiaomi 12, il ne faut guère espérer mieux qu'un module « télémacro » de 5 mégapixels pour vos prises de vue de loin.
En d'autres termes ? Xiaomi ne fait pas mieux que l'an passé sur le Mi 11. 
Alors oui, on pourra se contenter du « zoom » 2x offert par ce capteur, mais sa définition est très basse, et dans tous les cas largement inférieure à ce que propose la concurrence. 
Inutile de vous préciser qu'il faudra éviter à tout prix de pousser le « zoom » numérique au-delà. Techniquement, vous pouvez grimper jusqu'à 10x. Mais on vous laisse admirer le résultat.
Le Xiaomi 12 est un bon portraitiste. La découpe des sujets est plutôt précise, mais ne se rend pas vraiment service en simulant une ouverture au maximum. On peut évidemment la régler pendant ou après la prise, pas d'inquiétude.
Autrement, le niveau de détail est très bon, et les teintes chaleureuses (à défaut d'être parfaitement naturelles). 
Le module photo avant est lui aussi très à l'aise dans l'exercice, mais pèche par un excès de lissage. C'est flatteur, mais loin d'être réaliste.
Enfin, le module télémacro permet, comme son nom l'indique, de faire de la macro. Mais si l'on apprécie la disponibilité d'un autofocus pour nous aider à prendre des clichés stables, la faible définition du capteur rend la majorité des photos inexploitables.
Cela ne vous surprendra pas ; le grand-angle sort particulièrement du lot en matière de photo nocturne.
En intérieur, il n'a presque pas besoin de passer en mode nuit pour proposer des photos convaincantes. L'ultra grand-angle et le télémacro n'ont quant à eux pas tellement le choix.
Dehors, le mode nuit de l'ultra grand-angle permet — à la rigueur — de récupérer des clichés potables. Mais une nouvelle fois, le plus simple restera de s'en tenir au module principal.
Les photos sont lumineuses, bien exposées et (presque) dépourvues de bruit. 
Comme le Xiaomi 12 Pro, le Xiaomi 12 offre la possibilité de filmer en 8K à 30 images par seconde. La stabilisation est d'ailleurs assez bonne, mais le tout manque un peu de contraste.
Le résultat est bien plus flatteur en 4K à 60 images par seconde ; mais ce mode est malheureusement réservé au grand-angle. 
En effet l'ultra grand-angle n'est pas plus à l'aise en vidéo qu'en photo et offre des films assez pauvres en détail (mais riches en artefacts de compression).
Le Xiaomi 12 est officiellement commercialisé depuis le 28 mars. Il se décline en gris, violet ou bleu et ne s'offre que dans une seule et unique configuration.
À ce prix, le Xiaomi 12 est le concurrent direct du Samsung Galaxy S22. Ce dernier est à la fois moins performant et moins endurant, mais offre des photos plus polyvalentes.
Le tout récent OnePlus 10 Pro, lancé à 919 €, se retrouve également en confrontation avec ce Xiaomi 12. Son écran est un peu plus dynamique, et sa configuration photo beaucoup plus complète. En revanche, il s'agit d'un très grand smartphone.
L'iPhone 13 est évidemment une superbe option à considérer, même si son écran ne dépasse pas les 60 Hz. Reste aussi le Google Pixel 6 Pro qui, même plusieurs mois après sa sortie, nous laisse un très bon souvenir.

Le Xiaomi 12 est assurément un smartphone très séduisant, qui convainc de par son design à l'avenant et son format compact idéal au quotidien.
Reste qu'il faut garder les pieds sur Terre : oui, le Xiaomi 12 est un excellent smartphone, tant sur les performances et sur l'autonomie que pour son écran, mais rien — absolument rien — ne justifie une hausse de prix de 150 € par rapport à son prédécesseur.
Et oui, dans les faits, le Xiaomi 12 n'offre pas une prestation à ce point différente du Xiaomi Mi 11. Il a les mêmes qualités et souffre des mêmes défauts. Ce qui change fondamentalement, c'est sa diagonale de plus petite taille. Or nous ne sommes pas sûrs que cela soit vu comme un progrès par toutes et tous.
Au final, on tombe ici dans les mêmes travers que pour le Xiaomi 12 Pro. Il s'agit dans un cas comme dans l'autre d'excellents mobiles, mais pas au prix qu'en demande Xiaomi.
Si toutefois vous deviez craquer, rassurez-vous : on a pris beaucoup de plaisir à les tester et ces deux modèles restent hautement recommandables. Sauf peut-être pour les photographes très exigeants.
Les plus
Les moins
Design 8
Écran 8
Performances 10
Autonomie 9
Logiciel 8
Photographie 8
Design 8
Écran 8
Performances 10
Autonomie 9
Logiciel 8
Photographie 8
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