Publié
le
De
Toujours privé de Clint Capela, blessé au mollet, Atlanta a renoué avec la victoire après quatre défaites de rang. Les Hawks se sont imposés 120-117 à Sacramento.
Avec ses 22 points et ses 12 rebonds, John Collins a été le grand artisan du succès des Hawks. Il a été acquis dans le money-time grâce à un partiel de 7-0 lors des 76 dernières secondes de la rencontre.
Clint Capela n’a pas disputé les cinq dernières rencontres de son équipe. La date de son retour au jeu n’est pas encore connue.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
A Las Vegas, la tech se veut optimiste malgré la morosité ambiante
Basketball – Clint Capela ouvre un nouveau chapitre à Atlanta
Les Hawks déjà le dos au mur
Un 5e succès consécutif pour les Hawks
Les Hawks gagnent à Sacramento
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *






Publié
le
De
Le Consumer electronic show (CES), le rendez-vous annuel de l’électronique grand public à Las Vegas, ouvre ses portes jeudi dans un contexte morose.
La branche anticipe une baisse des dépenses des ménages, dans un contexte d’inflation et de licenciements, alors qu’elle continue d’affronter des difficultés d’approvisionnement.
Du 5 au 8 janvier, plus de 100’000 professionnels d’une centaine de pays sont attendus dans les hôtels clinquants de la ville américaine, pour une immense opération de communication autour d’appareils et services ultra connectés. En tout, les stands vont occuper plus de 20 hectares. Mais la fréquentation reste inférieure à celle d’avant la crise sanitaire.
“L’édition 2023 représente une nouvelle étape vers un retour à la normale, aux niveaux pré-pandémie”, assure Steve Koenig, vice-président chargé de la recherche à la Consumer Technology Association (CTA), qui organise le CES. En 2021, la grand-messe s’était tenue uniquement en ligne. Et en 2022, “nous avions pris la décision audacieuse de revenir en personne”, rappelle Steve Koenig. Mais le salon était l’ombre de lui-même, avec de nombreuses salles vides.
Cette année, les fabricants de téléviseurs, les constructeurs automobiles et les jeunes pousses à la pointe de l’intelligence artificielle sont de retour en masse. Le géant sud-coréen Samsung, notamment, a fait du CES sa vitrine pour le marché américain. Mardi, il a mis en avant des machines à laver qui évaluent elles-mêmes le niveau de saleté et déterminent la quantité de lessive nécessaire.
La société travaille aussi à la conception d’un four avec une caméra intégrée pour surveiller la cuisson en direct ou réaliser une vidéo du soufflé qui prend forme, une fonction pensée notamment pour les influenceurs sur les réseaux sociaux.
Le CES est aussi devenu l’un des plus importants salons automobiles, avec des annonces de BMW, Stellantis et Sony, entre autres. “C’est fini l’époque où le CES c’était surtout des téléviseurs, des ordinateurs portables et des gadgets connectés pour la maison”, note Thomas Husson, analyste chez Forrester.
“Maintenant que les logiciels sont intégrés dans tous les appareils, les marques présentent des innovations dans les véhicules électriques, la robotique et l’intelligence artificielle appliquée”. La CTA parie sur les technologies pour faire rebondir l’économie, comme, dans le passé, les smartphones ou l’internet à haut débit.
“Cette fois-ci, les nouvelles vagues de changements numériques qui vont parer à l’inflation et relancer la croissance vont venir des entreprises”, a déclaré Steve Koenig lors d’une conférence, évoquant notamment les robots qui vont rendre les usines plus efficaces et les machines agricoles automatisées. La technologie augmente la productivité, réduit ainsi les coûts de production, et constitue donc “une force déflationniste pour l’économie mondiale”, a souligné Gary Shapiro, président de la CTA.
Les entreprises vont cependant devoir choisir leurs arguments avec soin, alors que la hausse des prix et un phénomène de saturation après les années de pandémie freinent les dépenses des consommateurs. La CTA estime que les recettes du secteur des technologies aux Etats-Unis (voitures, télévisions, applications mobiles, etc) vont tomber à 485 milliards de dollars en 2023, contre 512 milliards en 2021, une année record.
“La récession qui se profile et l’inflation vont peser sur les budgets des ménages”, note l’organisation dans un communiqué, “mais les revenus de l’industrie des technologies vont rester supérieurs d’environ 50 milliards de dollars aux chiffres d’avant la pandémie”.
Pendant la crise sanitaire, de nombreuses sociétés technologiques ont largement bénéficié des confinements et ont embauché à tour de bras. L’année dernière a été celle des corrections, avec des plans sociaux dans toute la Silicon Valley. Mercredi, le groupe informatique Salesforce a annoncé se séparer d’environ 10% de ses salariés, soit près de 8000 postes. Dans la soirée, le géant du commerce électronique Amazon qui a annoncé la suppression d'”un peu plus de 18’000″ emplois, y compris en Europe.
Pour Steve Koenig, cette réalité ne doit cependant pas masquer le vrai problème, celui du manque généralisé de main d’oeuvre qualifiée. “Il y a vingt ans, la technologie était un plus pour une entreprise. Aujourd’hui, le bonus, ce sont les humains”, résume Steve Koenig.
“Les ex-salariés des géants de la tech trouvent facilement du travail ailleurs, parce que les autres sociétés ont besoin de leurs compétences dans le cloud ou l’IA”, détaille Avi Greengart, analyste de Techsponential. Pour les start-up, “il peut être plus facile de trouver des talents, mais il est devenu beaucoup plus difficile de lever des fonds”, à cause de la hausse des taux d’intérêt, nuance-t-il cependant.
La chaîne d’approvisionnement en semi-conducteurs reste aussi préoccupante. “Les coûts d’expédition sont en train de baisser et il y a moins de délais dans les ports dans le monde”, constate Steve Koenig, “mais il suffit de regarder ce qui se passe en Chine pour comprendre à quel point la situation reste incertaine”.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Publié
le
De
Nico Hischier a sorti le grand jeu à Detroit lors du succès 5-1 de New Jersey. Le capitaine a inscrit un but et a délivré un assist pour ses 35e et 36e points de la saison.
Dans l’antre des Red Wings de Pius Suter, les Devils ont démontré une fois de plus leur efficience dans les matches à l’extérieur. Ils ont, ainsi, remporté 14 des 17 rencontres disputées loin de leur base.
Jeudi, Nico Hischier a été impliqué sur l’ouverture du score de Dougie Hamilton à la 30e avant de signer le 2-0 à la 37e sur une séquence de jeu de puissance. A noter que Jonas Siegenthaler était sur la glace lors des trois autres réussites des Devils sous les yeux du sélectionneur de l’équipe de Suisse Patrick Fischer.
Nico Hischier a obtenu la troisième étoile, la première revenant à son gardien Vitek Vanecek, crédité de 32 arrêts.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Publié
le
De
Le prince Harry, en froid avec la famille royale britannique, accuse son frère William de l’avoir jeté au sol lors d’une dispute en 2019. C’est ce que révèle un extrait de son livre à paraître obtenu mercredi par le quotidien The Guardian.
Harry et son épouse Meghan ont quitté la monarchie avec fracas en 2020, dans une rupture ultra-médiatisée des deux côtés de l’Atlantique. Le couple, qui vit aux Etats-Unis, a depuis publiquement critiqué à plusieurs reprises la famille royale dans des interviews ou un récent documentaire Netflix.
Dans son livre “Le Suppléant” à paraître le 10 janvier, Harry dit avoir été attaqué physiquement par son frère aîné William durant une dispute à Londres en 2019, selon le Guardian. Lors de cette altercation, le prince de 38 ans accuse William d’avoir traité Meghan de femme “difficile” et “impolie”, avant que le ton ne monte, des insultes fusant, d’après le quotidien britannique.
Après un échange houleux, “(William) m’a attrapé par le col, déchirant mon collier, et m’a fait tomber par terre”, relaterait Harry. “J’ai atterri sur la gamelle du chien, qui s’est brisée sous mon dos, les morceaux m’entaillant”, ajouterait le prince, disant être resté au sol “hébété”, avant de demander à son frère de partir.
William se serait ensuite “excusé”, précise-t-il. Cette altercation aurait laissé à Harry des “éraflures et des bleus”, détaille-t-il encore, selon le Guardian.
Le prince Harry a affirmé vouloir “renouer” avec son père le roi Charles III et son frère William, dont il semblait auparavant très proche, dans un extrait d’interview publié lundi. Mais leurs relations semblent loin d’être apaisées. Dans un documentaire diffusé sur Netflix en décembre, le couple accusait la famille royale d’avoir menti, lui reprochant aussi de n’avoir pas su les protéger.
Harry ciblait son frère, déclarant qu’il lui avait “hurlé” dessus lors d’une réunion familiale en 2020 en présence d’Elizabeth II. Les Sussex accusent aussi William et sa femme Kate d’être à l’origine de la couverture négative de la presse car ils “volaient la vedette”.
En mars 2021, ils avaient accusé la famille royale d’insensibilité et de racisme lors d’une interview choc. La royauté britannique se trouve elle dans une période de transition, après l’accession au trône de Charles III, suivant la mort d’Elizabeth II le 8 septembre.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Publié
le
De
Une nouvelle journée sans “speaker”: la Chambre américaine des représentants a dû se résoudre à repousser ses débats à jeudi, les dissensions dans les rangs républicains l’ayant paralysée jusqu’à rendre impossible le choix de son président.
Favori pour remplacer Nancy Pelosi au perchoir, le républicain Kevin McCarthy est suspendu au bon vouloir d’une vingtaine d’élus trumpistes qui l’accusent d’être trop modéré et jouent délibérément les trouble-fête.
Membres de la frange la plus conservatrice du parti, ils profitent de la très fine majorité républicaine décrochée aux élections de mi-mandat de novembre pour poser leurs conditions. Sans leur soutien, Kevin McCarthy ne peut pas être élu.
L’Amérique veut “un nouveau visage, une nouvelle vision, un nouveau leadership”, a argué le turbulent élu du Texas Chip Roy depuis l’hémicycle mercredi. Kevin McCarthy, membre de l’état-major républicain depuis plus de 10 ans, a déjà accédé à nombre des exigences de ce groupe, sans que cela ne permette de débloquer la situation. Pire, l’opposition à sa candidature semblait se cristalliser.
Après six votes infructueux depuis mardi, les élus se sont accordés pour suspendre leurs débats jusqu’à jeudi midi heure locale (18h00 en Suisse). L’élection du “speaker”, le troisième personnage le plus important de la politique américaine après le président et le vice-président, nécessite une majorité de 218 voix. Kevin McCarthy n’a pour le moment pas réussi à dépasser les 203.
L’élu de Californie ne dispose pas pour autant de concurrent crédible. Seul le nom du chef de groupe Steve Scalise circule comme possible alternative, sans que ses chances ne semblent sérieuses. Le président démocrate Joe Biden a qualifié cette situation d'”embarrassante”, assurant que “le reste du monde” suivait de près la pagaille au Congrès.
Ce blocage a des répercussions très concrètes: sans président, les élus ne peuvent pas prêter serment, et donc passer quelconque projet de loi. “Nous avons du travail à faire et auquel nous ne pouvons pas nous atteler”, a dénoncé l’élu républicain Mike Gallagher. Les républicains ne peuvent pas non plus ouvrir les nombreuses enquêtes qu’ils avaient promises contre Joe Biden.
L’agacement commençait à se faire sentir dans l’état-major du “Grand Old Party”, donnant lieu à des débats très animés dans l’hémicycle. Mercredi matin, Donald Trump est sorti du bois, exhortant le groupe d’électrons libres à rentrer dans le rang. Mais l’ancien président, dont la réputation de faiseur de rois a sérieusement été mise en doute ces derniers mois, n’est pas non plus parvenu à les convaincre.
Une situation que les démocrates observent avec un certain amusement, entre rires narquois et applaudissements à leurs collègues républicains. Le parti de Joe Biden fait bloc autour de la candidature du chef Hakeem Jeffries, mais l’élu ne dispose pas non plus d’assez de voix pour être élu au perchoir.
Les élus continueront à voter jusqu’à ce qu’un président de la Chambre des représentants soit élu. Cela devait être l’affaire de quelques heures, mais pourrait s’étendre sur plusieurs semaines: en 1856, les élus du Congrès ne s’étaient accordés qu’au bout de deux mois et 133 tours.
Être face à une Chambre hostile, mais désordonnée, pourrait se révéler être une aubaine politique pour Joe Biden, s’il confirme son intention de se représenter en 2024 – décision qu’il doit annoncer en début d’année.
Soucieux d’endosser son costume favori de président centriste, friand de compromis, le président démocrate s’est rendu mercredi dans le Kentucky pour vanter le chantier d’un nouveau grand pont financé par une loi qu’il a portée, et qui avait récolté quelques voix républicaines au Congrès. Hasard du calendrier, il était accompagné du chef des républicains à l’autre chambre du Congrès américain… le ténor du Sénat Mitch McConnell.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Publié
le
De
Le géant du commerce électronique Amazon a annoncé mercredi soir qu’il allait supprimer “un peu plus de 18’000” emplois, y compris en Europe. Il s’agit d’un nouveau signe majeur des difficultés du secteur de la technologie aux Etats-Unis.
Dans un message sur le site du groupe, le directeur général d’Amazon Andy Jassy indique qu’Amazon, qui avait déjà annoncé quelque 10’000 suppressions d’emplois en novembre, a révisé son estimation à la hausse et “prévoit de supprimer un peu plus de 18’000 postes”.
Sans indiquer la répartition de ces suppressions d’emplois, le dirigeant, qui précise avoir décidé d’annoncer “ces nouvelles rapidement” parce qu’elles ont été “fuitées” par un employé, mentionne que les salariés impactés “ou bien leurs représentants, le cas échéant, en Europe” seront contactés par la société le 18 janvier.
“L’examen de notre planification annuelle (….) a été plus difficile cette année compte tenu de l’incertitude économique et du fait que nous avons embauché massivement au cours des dernières années”, dit encore Amazon.
Le groupe de distribution a en effet embauché à tour de bras pendant la pandémie pour répondre à l’explosion de la demande, doublant ainsi son personnel mondial entre début 2020 et début 2022. Le groupe comptait fin septembre 1,54 million d’employés dans le monde, sans inclure les travailleurs saisonniers recrutés en période d’activité accrue, notamment pendant les fêtes de fin d’année.
“Amazon a résisté à des économies incertaines et difficiles dans le passé, et nous continuerons à le faire”, assure le patron du groupe américain. “Ces changements nous aideront à poursuivre nos opportunités à long terme avec une structure de coûts plus solide (…). Les entreprises qui durent longtemps passent par différentes phases. Elles ne sont pas en mode d’expansion massive de personnel chaque année”, poursuit-il.
Ce plan de suppressions d’emplois est le plus important parmi les récentes annonces de réductions d’effectifs qui touchent le secteur de la technologie aux Etats-Unis. C’est aussi la réduction de personnel la plus massive dans l’histoire de l’entreprise de Seattle.
Amazon a vu son bénéfice net baisser de 9% sur un an au troisième trimestre. Et pour le dernier trimestre, Amazon anticipait en novembre une croissance anémique au regard de ses standards, comprise entre 2% et 8% sur un an, et un bénéfice opérationnel compris entre 0 et 4 milliards de dollars, contre 3,5 pour la même période de 2021.
Le groupe doit annoncer ses résultats annuels le 1er février. Dans le secteur de la tech, les grandes plateformes au modèle économique fondé sur la publicité font face aux coupes budgétaires des annonceurs, qui réduisent leurs dépenses face à l’inflation et à la hausse des taux d’intérêt.
Meta, la maison mère de Facebook, a annoncé en novembre la suppression de 11’000 emplois, soit environ 13% de ses effectifs. Fin août, Snapchat a supprimé environ 20% de ses effectifs, soit plus de 1200 employés.
Twitter, racheté en octobre par Elon Musk, a pour sa part congédié environ la moitié de ses 7500 salariés. Dernier en date, le groupe informatique américain Salesforce, spécialisé dans les solutions de gestion et dans le cloud (informatique à distance), a annoncé mercredi se séparer d’environ 10% de ses salariés, soit un peu moins de 8000 postes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Derniers titres
L’info en continu
Toujours privé de Clint Capela, blessé au mollet, Atlanta a renoué avec la victoire après quatre défaites de rang. Les…
Le Consumer electronic show (CES), le rendez-vous annuel de l’électronique grand public à Las Vegas,…
Nico Hischier a sorti le grand jeu à Detroit lors du succès 5-1 de New…
Votre Horoscope
Possibles associations favorisant votre ouverture d’esprit et l’apprentissage de nouvelles techniques. Foncez !
Voir tous les signes
Plus de 50’000 créations d’entreprises en 2022
Une auto pincée à la douane avec 23 occupants à son bord
Bilan des fêtes positif pour le tourisme suisse
Les erreurs suisses ont conduit à la guerre, juge un auteur russe
Gagnez vos invitations pour les soirées 28 Forever au MAD !
Le criquet à ailes bleues est l’animal de l’année 2023
Lausanne n’avance toujours pas
Record de missions pour les compagnies de sauvetage en 2022
Radio LFM – Avenue de la Gare 4 – CH-1003 Lausanne
Standard : 021 341 11 11 – Antenne : 0842 00 10 33 – WhatsApp : 079 842 10 33 – Contactez-nous: sav@lfm.ch

© Copyright 2021 – Media One Group

source

Catégorisé: