Stephen R. Kelly — Traduit par Bérengère Viennot — Édité par Hanna Devaud
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Il y a cinquante ans, un des derniers soldats japonais à avoir combattu pendant la Seconde Guerre mondiale refit brusquement surface. Une fin d’après-midi de janvier, sur l’île de Guam, dans le Pacifique, deux chasseurs tombèrent sur un homme voûté, couvert de vêtements sales, en train d’installer des pièges à crevettes artisanaux dans un cours d’eau aux confins de la jungle. Les deux hommes avaient vécu l’occupation brutale de l’île de Guam par les Japonais pendant la guerre, ils comprirent donc immédiatement ce qu’ils venaient de découvrir. Avant que l’homme aux yeux écarquillés ne pût s’échapper, ils s’en saisirent, lui lièrent les mains derrière le dos et le conduisirent, sous la menace d’une arme, jusqu’aux autorités de l’île qui eurent du mal à croire l’histoire qu’il se mit à leur raconter.
Les chasseurs venaient de capturer Shoichi Yokoi, soldat de première classe de l’armée impériale japonaise. Il était le dernier survivant d’une garnison composée de 20.000 soldats japonais annihilés par l’armée américaine lorsqu’elle avait reconquis son territoire en 1944. Il était resté en cavale dans les terres sauvages de Guam pendant près de vingt-huit ans, d’abord avec une petite bande, puis complètement seul. Le jour, il se cachait dans un tunnel froid, humide et enfumé qu’il s’était creusé avec un fragment d’obus. La nuit il cherchait des noix de coco, des crapauds buffles et à l’occasion, récupérait une vache égarée. Il avait 56 ans et pesait moins de 40 kilos.

Il annonça à ses compatriotes qu’il avait honte de rentrer vivant au pays.
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La première fois que j’ai entendu parler de l’histoire de Yokoi, j’étais journaliste à Guam au milieu des années 1970. Au début, ce furent les détails de sa survie qui m’ébahirent: le fait qu’il ait survécu à l’invasion massive des Américains, qui coûta la vie à 90% des défenseurs japonais. Le jeu mortel du chat et de la souris auquel il avait joué la moitié de sa vie tandis que soldats américains et insulaires avides de vengeance traquaient les survivants. Sa volonté acharnée d’aller de l’avant, même après la mort du dernier de ses compagnons.
Mais ces dernières années, je me suis de plus en plus intéressé aux questions plus larges que soulève l’épreuve qu’il a subie. De quoi avait-il tant honte? Que pensaient les Japonais de 1972, à qui leur nouvelle constitution interdisait le recours à la force pour résoudre les querelles internationales, dont l’empereur n’était plus considéré comme un dieu et dont le pays était devenu la troisième économie mondiale, de ce voyageur du temps venu d’un passé si différent? Et peut-être plus important encore, à une époque où, nous, les Américains, sommes rongés par des questions sur la personnalité, les objectifs et la résurgence du nationalisme, quel genre de pays produit un homme qui préfère passer plusieurs dizaines d’années dans un trou étouffant et puant plutôt que de se rendre?
Même cinquante ans plus tard, les réponses ne sont pas simples.
Shoichi Yokoi naquit en 1915 dans une famille rurale pauvre près de la ville industrielle poussiéreuse de Nagoya, et grandit pendant l’une des plus profondes récessions de l’histoire de son pays. Sa mère quitta son mari alcoolique alors qu’il n’avait que trois mois et éleva son fils unique avec les plus grandes difficultés. Yokoi fut ballotté d’un membre de sa famille à l’autre sans jamais être le bienvenu jusqu’à ses 15 ans, lorsqu’il entra en apprentissage chez un tailleur à Toyohashi, à 65 kilomètres au sud-est de Nagoya. Les heures de travail étaient si longues et les rations alimentaires si maigres que lorsque Yokoi fut appelé pour faire ses trois jours en 1935, il fut recalé. Pour un homme qui allait établir un record dans le domaine de l’endurance humaine, il était mal parti.
Apprendre à faire un revers à des pantalons ou à manier le mètre de couturière peut ne pas paraître la meilleure préparation à une vie de cavale, mais Yokoi sut mettre ses connaissances à profit. Lorsque la chaleur et l’humidité tropicales de Guam firent tomber son uniforme en lambeaux, il trouva le moyen de détacher les fibres de l’écorce des arbres et de les tisser pour en faire une sorte de toile de jute. Il en fit des chemises et des pantalons étonnamment bien taillés, avec poches, passants pour la ceinture et boutonnières cousues dans les règles de l’art.
Ces vêtements le protégeaient du soleil tropical et des nuées de moustiques. Leur fabrication, qui demanda plusieurs mois pour chaque ensemble, lui permit de rester sain d’esprit. «Cela a peut-être été bon pour ma santé mentale de m’astreindre à des tâches quotidiennes, écrivit-il plus tard. Chaque moment de ces activités me procurait un plaisir simple et un sentiment de satisfaction.»
Ses innovations en survivalisme ne s’arrêtèrent pas là. Non seulement il apprit comment creuser des tunnels avec des outils primitifs ainsi que les moyens de les empêcher d’être inondés ou de s’affaisser, mais il fabriqua un filtre avec des coques de noix de coco pour réduire la fumée de ses feux de cuisine souterrains, susceptibles de le trahir. Il apprit également à enlever les glandes vénéneuses des crapauds buffles qui lui fournissaient les protéines dont il avait grand besoin, et plus tard se mit à élever ces batraciens géants dans son tunnel afin de contrôler la population de cafards et de lui tenir compagnie.
Il fabriqua des pièges pour attraper des crevettes d’eau douce, des anguilles et des mulots, et dissimula l’entrée de son tunnel sous un tapis en bambou suffisamment solide pour soutenir le poids d’un homme, et pourtant invisible à l’œil nu. Il découvrit également à ses dépens qu’essayer d’allumer un feu en frottant deux bouts de bambou peut être épuisant, à moins d’ajouter juste au bon moment une toute petite dose de poudre prélevée dans les balles qu’il lui restait. Ce soldat faiblard aux origines peu prometteuses s’avéra être un génie du survivalisme.


La grotte d’origine de Shoichi Yokoi ayant été détruite par un typhon, une reproduction a été construite au même endroit. Elle est devenue une attraction touristique de Talofofo, à Guam. | Groverva via Wikipedia
Lorsque Yokoi retourna au Japon en 1972, sa trousse à outils suscita un tel intérêt que des dizaines de milliers de Tokyoïtes firent la queue pendant des heures pour venir la voir pendant son exposition dans un grand magasin du centre-ville (elle est visible en ligne sur le site internet du musée municipal de Nagoya). Mais à mesure que le public prenait connaissance de l’immensité des épreuves qu’il avait subies, son intérêt passa du contenu de sa trousse à outils à l’homme et la force dont il a dû faire preuve.
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Yokoi avait grandi dans un Japon pétri de rancœur. Malgré sa victoire contre la Russie en 1905 (la première fois qu’un pays asiatique battait une puissance occidentale) et son alliance avec les vainqueurs de la Première Guerre mondiale (ce fut la seule puissance asiatique signataire du traité de Versailles), ses dirigeants ne se sentaient pas respectés. Ils étaient irrités par les limites imposées à leur flotte par les États-Unis et le Royaume-Uni et n’appréciaient guère le racisme que les émigrés japonais devaient affronter aux États-Unis, où l’hystérie contre le «péril jaune» conduisit à une interdiction de l’immigration japonaise en 1924. Comme le savent pertinemment les Américains d’aujourd’hui, un sentiment d’injustice peut être une motivation puissante.
À partir de 1930, une épouvantable série d’assassinats et de coups d’État manqués liés à des éléments ultranationalistes dans l’armée japonaise sapèrent les institutions démocratiques qui s’étaient développées dans les années 1920. Le régime de plus en plus autoritaire fit la promotion d’une dévotion inconditionnelle à un empereur de nature prétendument divine et d’une mentalité mettant le Japon avant tout le reste, et qui justifiait un impérialisme absolu. En 1931, un groupe d’officiers de l’armée japonaise organisèrent l’attaque d’une voie ferrée appartenant au Japon en Mandchourie et accusèrent les Chinois. L’incident servit de prétexte pour annexer la province entière.
En 1938, le nombre croissant de morts dans la guerre que le Japon continuait de mener en Chine obligea l’armée impériale à revoir ses critères physiques suffisamment à la baisse pour harponner Yokoi. Compte tenu de son physique moins que robuste, il fut affecté à une unité logistique derrière les lignes de front et fut d’abord envoyé en Chine, puis à Guam, où il prit part à une ultime tentative de défense de l’Empire pacifique japonais en plein effondrement. Lorsque les Marines écrasèrent son unité mal entraînée sur les plages de Guam en 1944, il battit en retraite avec quelques autres rescapés dans la moitié sud de l’île, couverte de collines boisées.


Shoichi Yokoi dans son uniforme de sergent de l’armée japonaise. | Wikipedia
Les Japonais avaient envahi Guam quelques jours après Pearl Harbor, ce qui en faisait le premier territoire américain à tomber entre des mains ennemies depuis la guerre de 1812. Ils le géraient comme un camp de concentration. Lorsque dans la période d’après-guerre, à l’instar des deux chasseurs, des insulaires survivants découvraient des soldats restés sur place, comme Yokoi, ils les tuaient souvent.
Constatant que la vie à la surface était de plus en plus risquée, Yokoi et son petit groupe, qui ne cessait de se réduire, s’enfouirent sous la terre à partir des années 1950. En 1964, les deux derniers compagnons de Yokoi, avec qui il s’était brouillé, moururent dans des circonstances mystérieuses. Le médecin légiste de Guam décréta plus tard qu’ils avaient été empoisonnés, probablement par l’ingestion de graines de cycadophytes mal préparées qui contiennent une toxine dont Yokoi et ses compagnons savaient tous qu’elle était mortelle.

Yokoi resta seul pendant les huit années qui suivirent. Il bricolait ses pièges à crevettes, élevait ses crapauds buffles et regardait ces curieux appareils, dont il saurait plus tard qu’on les appelait des avions à réaction, passer en vrombissant au-dessus de l’entrée de son tunnel. Il ne pouvait que remarquer qu’aucun d’entre eux ne portait de marquage japonais. Lors de ses premières années dans la jungle, il avait entendu des haut-parleurs annoncer que la guerre avec le Japon était terminée. Mais dans le pays militariste et ultranationaliste qui avait façonné sa personnalité, les membres de l’armée impériale étaient censés se battre jusqu’à la mort. Une reddition, lui avait-on asséné explicitement lors de ses premières années dans l’armée, ne déshonorait pas seulement les soldats mais aussi leurs familles restées au pays.
Sur le front, ce décret draconien avait conduit à un nombre de morts épouvantable. Des 20.000 défenseurs japonais environ stationnés à Guam lorsque les Marines américains débarquèrent au matin du 21 juillet 1944, 18.382 périrent, selon les décomptes américains ultérieurs. Beaucoup moururent lors d’attaques-suicides totalement inutiles en poussant le cri de guerre «banzai!». Moins de 1.600 d’entre eux furent capturés vivants. Environ 150 fuirent dans la jungle, pris au piège entre leur désir de vivre et leur refus de se rendre. Yokoi fut le dernier à en ressortir vivant. Il ne s’était pas rendu, mais il n’avait pas gardé sa dernière balle pour lui non plus.
À partir du moment où il fut découvert, les presses américaine et japonaise firent leurs choux gras de l’histoire de Yokoi qui était digne de Rip Van Winkle, le personnage romanesque de Washington Irving. Il n’avait jamais regardé la télévision, ne savait pas que des hommes avaient marché sur la Lune et n’avait jamais entendu parler de la bombe atomique. Il ne sut pas quoi faire des petits paquets de papier qu’il trouva sur son plateau de petit-déjeuner au Guam Memorial Hospital –c’était du sel et du poivre. Il mit les journalistes en joie lors de la première conférence de presse après sa capture en demandant si Franklin Roosevelt était encore président des États-Unis. Roosevelt était mort depuis plus de vingt-six ans.
Yokoi était en étonnamment bonne forme. Certes il était anormalement maigre et très voûté, à cause de son existence souterraine, et il lui faudrait des mois pour se redresser. Il lui manquait aussi sept dents, il souffrait d’un léger béribéri et d’un écrasement de vertèbre dans le bas du dos, dû à un affaissement de tunnel qui avait failli le tuer. Ses faibles apports caloriques avaient également annihilé toute appétence sexuelle; il lui faudrait des mois avant de retrouver une érection. Il avait été privé de sel pendant plus d’un quart de siècle et avait rarement mangé de la viande rouge.
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Si son taux de protéines dans le sang était bas, il ne souffrait pas de malnutrition. Il avait été obligé de faire régulièrement de l’exercice pour se procurer à manger et trouver du bois. Il avait soigneusement fait bouillir l’eau qu’il buvait et s’était lavé toutes les nuits dans le cours d’eau où il pêchait. Tout cela lui avait valu un cœur en bonne santé et un corps libre de tout parasite. Il s’exprimait curieusement bien pour quelqu’un qui n’avait entretenu de conversation qu’avec des crapauds buffles pendant huit ans.

Si les Japonais furent fascinés par l’histoire de sa survie, ils étaient divisés sur sa signification. Beaucoup de ses compatriotes le considéraient comme une victime du redoutable système éducatif d’avant-guerre qui avait rendu la guerre acceptable et la libre-pensée subversive. Les néo-nationalistes le traitèrent tout bonnement de déserteur. Quelqu’un lui envoya une lame de rasoir et une lettre lui suggérant de s’ouvrir les veines. Les Japonais les plus jeunes –en 1972, la moitié de la population était née après la guerre– admirèrent son endurance mais trouvaient son sacrifice incompréhensible.
Yokoi lui-même ne fournit pas de réponse simple. Malgré tout ce qu’il avait enduré, sa loyauté envers l’empereur Hirohito, l’homme qui l’avait envoyé mourir à Guam puis s’était rendu aux alliés et était toujours sur le trône à son retour, n’avait pas faibli. Yokoi resta flou sur le moment où il avait fini par comprendre que la guerre était terminée, et sur ce qui était arrivé à ses deux derniers compagnons dans la jungle. Bien qu’il rejetât toute suggestion avançant qu’il pût être un héros, et qu’il se fût lassé de toute l’attention qu’il suscitait –des entreprises de bus touristiques avaient ajouté des arrêts chez lui, à Nagoya, pour répondre à la demande–il se lança dans une campagne législative à petit budget en 1974 avec un programme qui rejetait le consumérisme, les jupes courtes et la pollution du Japon moderne. Il essuya une défaite. Cuisante.
Pourtant, ce survivant ridé et pétri de contradictions n’avait pas fini d’étonner les autres ni de s’étonner lui-même puisqu’il trouva l’amour, à 57 ans. Sa famille ayant décidé qu’il lui fallait une épouse, elle avait eu recours aux services d’une marieuse professionnelle. La troisième candidate fut une femme de 44 ans originaire de Kyoto, appelée Mihoko Hatashin. Ce fut le coup de foudre. Ils se marièrent en novembre 1972 et aussi improbable que cela paraisse, ce fut à Guam qu’ils partirent en lune de miel.

Ils vécurent ensemble les vingt-cinq années qui suivirent, jusqu’à la mort de Yokoi en 1997. Officiellement, il mourut d’une crise cardiaque. Mais il avait connu une longue période de déclin causée par une forme de maladie de Parkinson que les médecins associaient à ses longues épreuves dans la jungle, et il avait cessé de s’alimenter. Certains pensent qu’il s’est laissé mourir de faim pour éviter de devenir un fardeau trop lourd pour Mihoko. Il avait 82 ans.

Yokoi ne fut pas le dernier soldat de l’empereur à réapparaître ainsi. Deux autres allaient émerger après lui: un officier japonais bravache qui déposa son épée lors d’une cérémonie mélodramatique aux Philippines deux ans après la découverte de Yokoi, et un aborigène de Taïwan recruté par l’armée japonaise, devenu agriculteur et retrouvé en Indonésie fin 1974. Mais Yokoi fut le premier à émerger après une période de douze ans, pendant laquelle le Japon avait amplement réussi à mettre la Seconde Guerre mondiale derrière lui et à devenir une démocratie vivante. Et voilà qu’il ramenait la guerre, avec toute sa violence et sa dévotion aveugle à des idéologies extrémistes, avec une force surprenante et souvent douloureuse.
Cinquante ans plus tard, l’onde de choc de ce qui fut surnommé «l’explosion Yokoi» trouve encore un écho au Japon. Le réseau de radio et de télévision public japonais NHK ont diffusé un documentaire de trente minutes sur lui en novembre 2021, basé sur une mine d’enregistrements découverts récemment et réalisés peu de temps après son retour. Les journalistes avaient aussi retrouvé Mihoko, âgée aujourd’hui de 93 ans, et lui avaient fait écouter ces enregistrements.
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J’ai moi-même rencontré Mihoko en 2019 à Nagoya. Nous avons conversé dans la maison qu’elle et Shoichi avaient fait construire en 1973 avec des dons qu’ils n’avaient pas sollicités mais qui leur étaient parvenus de tout le Japon. Mihoko m’a confié que son mari évitait de parler de la guerre ou de ce qu’il avait vécu à Guam, mais qu’il avait proposé de cuisiner une marmite de mulots peu de temps après leur mariage. Elle lui avait dit qu’à partir de ce moment-là, ce serait elle qui cuisinerait.
Dans le documentaire, on voit Mihoko écouter Yokoi révéler son amertume envers les officiers à qui il reprochait de les avoir abandonnés à Guam, lui et ses compagnons, évoquer l’horreur qu’il avait éprouvée devant les atrocités qu’ils y avaient commises et sa frustration lorsqu’il essayait d’expliquer à ses compatriotes ce qui était arrivé à leurs fils, leurs frères et leurs maris sur cette île lointaine, et pourquoi ils devraient encore s’en soucier.
«Le Japon ne correspond plus à l’idée qu’il s’en faisait, dit Mihoko après un silence. Je crois que c’est un pays qui ne ressent plus le besoin d’écouter l’histoire de Yokoi.»
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